Un article fourni par orson, qui nous explique à quoi il faut penser pour rendre son site compatible aux normes RGPD.
Nos bureaux vous ouvrent les portes sur la refonte (ou du moins la reconstruction) d’un site Internet.
Vous allez donc pouvoir visualiser les étapes de la construction d’un site responsive design avec sa console d’administration.
On part d’un site touffu et brouillon, tout y est mais rien n’est mis en avant et organisé. Le client se plaint d’une mise à jour complexe et hésitante. De plus le site n’est pas responsive et n’est donc pas compatible avec les tablettes et GSM, grosse perte de référencement dans les moteurs de recherche.
On constate un gros défaut de référencement, on va donc pouvoir tout reprendre sans se soucier de ce point avec du rewriting ou des pages satellites pour ne pas perdre le référencement.
Explication : si on regarde le code source de la page d’accueil, il y a plus de mots dans les mots clés que dans la page elle-même 🙂 Les métas sont bien présents et fournis mais on compte tout au plus 100 mots dans la page ! On ne répétera jamais assez que c’est l’itération qui fait le référencement et non la présence de mots clés : mot clé + titre + mot dans les articles (au moins 3 fois).
On fait un tour du site, principalement pour les photos, elles sont toutes d’un format ridicule et pixelisées, on prendra donc le soin de ne rien récupérer. Si cela avait été pour présenter des boulons on ne se serait pas posé de question, mais là on vend du rêve et du détail, la qualité d’image est donc primordiale !
Dans un premier temps on fait le point avec le client de l’existant, bien noter ce qu’il aime, ce qu’il déteste et ce qui pourrait être amélioré.
Pour cette approche j’utilise une vieille méthode marketing :
Là dessus penser à l’évolutivité (ce qu’on pourra rajouter ou modifier par la suite) et les traductions (prévoir dès le début les langues dans la programmation).
A partir de là je définis un cahier des charges de quelques pages expliquant les sections et son contenu (champs que l’on placera en base de données), exemple si je définis une moto d’occasion cela donne :
Ce travail est primordial car c’est lui qui va vous permettre de monter les bases de données (ne rien oublier permet de gagner un temps précieux en programmation) et donner au designer la matière à travailler.
Donc désormais on a les tables et les sections on démarre sur une première maquette qui permettra au client de valider visuellement l’articulation du site (et éventuellement son design si on est bon du premier coup).
Ici c’est pas la beauté qui prime, ce sont les phrases clés, l’intégration du logo, les typos et les couleurs que le client doit appréhender et valider. On aura tout le temps de faire du dessin quand le design est validé :p
On présente la structure et le design, les idées s’éclaircissent pour le client et les idées concrètes arrivent …
On connait désormais :
Le plus dur est fait, on a le concept, à nous de jouer … On est donc le 11 juillet 2018, la maquette part chez le designer et le cahier des charges aux développeurs.
On développera comme à notre habitude le site en C# sous Visual Studio, l’énorme avantage est que la couche web est dissociée de la programmation, le designer peut donc mettre ses gros doigts dans la MasterPage sans rien casser au site 🙂
D’un point de vue technique on partira sur une base de données MS Access, pour deux raisons, par budget et par usage (on aura jamais 100 connectés simultanés sur une occasion car le site reste local).
NDLR : la grosse question actuelle et récurrente, pourquoi on fait pas le site sous un open source connu comme WordPress ?
A ceci je répondrai par trois points :
Bon trêve de discussion, on se met au travail et on vous présente les consoles d’administration d’ici quelques jours …
Personnellement, je préfère débuter par l’administration, je commence par réaliser les bases de données, bien réfléchir aux relations et simplifier au maximum les structures.
Par exemple, les tables Réalisations, Peintures et Usinages sont identiques, je vais donc créer une seule table en ajoutant un id de Catégorie qui me permettra de connaitre dans quelle Catégorie travailler.
Le gros Avantage : si le client désire une nouvelle catégorie, on a joute un id de Catégorie et le tour est joué.
On définit les composants dont on aura besoin et on les importe dans notre dossier de librairies.
Une console d’administration se veut simple et ergonomique et normalisée au HTML5 (responsive design), on commence par segmenter chaque région du site dans des menus intuitifs.
Puis on essaye de simplifier au maximum les actions et bien les dissocier avec des icônes expressifs :
A ce stade, en seulement quelques jours de travail on a déjà réalisé 60% de l’ossature du site. On teste bien cette première partie que les actions, modifications et suppressions fonctionnent bien. On vérifie que les messages d’alerte soient fonctionnels et compréhensibles (format des images non valide, on attend un nombre et non un texte, …).
Maintenant en parallèle de l’administration, on va pouvoir écrire nos premières fonctions pour la partie visible du site : listing des fiches, diaporama des photos, … même si rien n’est encore fait d’un point de vue graphique, peu importe, les fonctions une fois développées pourront être appelées dans tout type de design, il faudra juste peaufiner l’affichage et le design dans la phase finale avec les designers.
Comme une boutique, la table Articles (ici Occasions) est primordiale pour plusieurs choses :
NDLR : On voit trop souvent des sites afficher par exemple « liste des articles les plus consultés » avec des requêtes du style select count(*) et des jointures à tout va qui mettent plusieurs secondes à s’afficher et ensuite on incrimine les serveurs pour les lenteurs de traitement. Il faut savoir que si vous avez une table de 10 articles + une table jointe de 3 lignes, avec un select (*) on obtient en mémoire : 10 x 3 = 30 lignes * X champs des deux tables, ce qui va vite saturer la mémoire et le processeur lorsque notre table Articles comportera 1000 produits.
Si on reprend notre exemple sur les Occasions, on va commencer par définir les types de champs et les tables liées :
Ce travail effectué on peut créer nos tables. Je commence par les tables annexes et je finis par la table principale.
NDLR : si on doit par exemple faire des mises en avant de produit en page d’accueil, ajouter un champ booléen Oui/Non, pas prévu mais je vais quand même l’intégrer au cas ou.
Petite astuce que j’emploie souvent, je génère un fichier XML des produits que je dois mettre en avant ou page d’accueil. Gros avantage, vous ne sollicitez pas la base de données et le traitement se chiffre en millième de secondes (parser XML en Jquery).
Les bases de données sont en ligne, l’administration achevée (remplissage et édition des fiches), on peut enfin attaquer la mise en page finale du site et la programmation.
Première chose on définit les wrappers (ou conteneurs) en fonction des largeurs de site que l’on désire.
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/* Mise en page ============================== */ .wrapper100 {width:100%;} .wrapper {width: 100%;max-width:80%;margin: 0px auto;} |
Ensuite, pour être certain de la conformité pour les tablettes et GSM, je commence par déclarer mes divs qui seront « modifiables » (translation hauteur et largeur) en flex :
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/* Flex ====================================== */ .containerFlex, .containerFlexImg {display:-ms-flex;display:-webkit-flex;display:flex;flex-direction: row;justify-content:space-between; padding-top:10px;} .containerFlex > div {text-align:left;} .div50 {width:50%;} .div70 {width:70%;} .div30 {width:30%;} .div25 {width:25%;} .containerFlex div:not(:first-child) {padding-left:40px;} // permet de faire un espace sur la gauche si div différent du premier |
et regrouper nos déclarations pour les écrans de petite taille :
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@media screen and (max-width: 800px) { /* Mise en page ============================== */ .wrapper {width: 100%;max-width:100%;margin: 0px auto;} /* Flex ====================================== */ .containerFlex{flex-direction: column;} .containerFlex div {width:90%;margin:0 auto;} .containerFlexImg div {width:100%;margin:0 auto;} .containerFlex div:not(:first-child) {padding-top:30px;padding-left:0px;} } |
De ce fait, les colonnes en flex nous permettent de superposer les articles et de ne plus les afficher les uns à côté des autres. Sur ce, 80% du travail est déjà réalisé, il n’y a plus qu’à définir le css du site (images, titres, texte, …).
Exemple d’utilisation du flex pour afficher quatre textes avec 4 logos dans 4 colonnes distinctes :
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<div class="wrapper100 white"> <div class="wrapper white" style="padding:40px 0"> <div class="containerFlex"> <div class="center"> <i class="fas fa-fill-drip fa-5x"></i> <h4>Customisation</h4> <p>L'atelier peinture & accessoires pour customiser la moto de vos rêves</p> </div> <div class="center"> <i class="fas fa-cogs fa-5x"></i> <h4>Préparation</h4> <p>L'atelier préparation pour toute la partie moteur & cycle de votre moto</p> </div> <div class="center"> <i class="fas fa-wrench fa-5x"></i> <h4>Réparation</h4> <p>L'atelier mécanique pour réparer tous les petits bobos ou grosses plaies</p> </div> <div class="center"> <i class="fas fa-motorcycle fa-5x"></i> <h4>Neuf/Occasion</h4> <p>Un showroom de motos neuves ou d'occasion pour trouver votre future moto</p> </div> </div> </div> </div> |
NDLR : vous avez bien compris que le rendu flex d’un site vous fait gagner beaucoup de temps pour être full compatible GSM. Il faut juste bien déterminer ce que l’on rentre dans le flex ou pas. Avec le F12 de google vous pouvez contrôler et vérifier les affichages selon les navigateurs et appareils, hyper pratique pour le debug du css. Généralement je développe en 600px de large et ensuite je peaufine pour le site sur écran d’ordinateur, toujours plus dur de bien caler les textes et images sur petit format, et c’est pas lorsqu’il y a des milliers de lignes en css que l’on peut aisément corriger le tir.
Le css étant prêt, on va pouvoir commencer à monter la page de design (master page en C#). L’avantage de cette page permet de dissocier le graphisme de base au reste du site. Une master page se compose d’un header, d’une partie propre à elle et d’un conteneur (injection des pages de développement dans le graphisme).
Généralement ça se compose de la sorte :
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<%@ Master Language="C#" %> <!DOCTYPE html> <html> <head runat="server"> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=utf-8"/> <title>Riviera Choppers</title> <meta name="description" content=""> <meta http-equiv="X-UA-Compatible" content="IE=edge" /> <meta name="viewport" content="width=device-width, initial-scale=1" /> <meta name="robots" content="index, follow" /> <meta name="author" content="RD médias" /> <asp:ContentPlaceHolder id="ContentPlaceHolder" runat="server"> </asp:ContentPlaceHolder> <!-- appels fontawesome : JS + CSS --> <!-- appels CSS --> <!-- appels scripts --> </head> <body> <header><!-- ENTETE de PAGE --></header> <nav><!-- MENU --></nav> <asp:ContentPlaceHolder ID="ContentPlaceHolder1" runat="server"> <!-- inclusion des pages programmées --> </asp:ContentPlaceHolder> <footer><!-- PIED de PAGE --></footer> </body> </html> |
On va donc intégrer dans cette master page tout le graphisme qui ne changera pas, donc à 99% on y trouvera que du HTML et sera aisément éditable par un webmaster sans connaissance aucune de la programmation. De plus si on doit faire un changement visuel du site, avec une simple page on peut tout modifier graphiquement en quelques minutes.
J+20, tout est prêt on a plus qu’à créer toutes les pages, le plus fastidieux à mes yeux.
Pour gagner du temps, je repère tout ce qui se réitère dans les pages su site et qui ne rentre pas dans la MasterPage. Je vois donc qu’une tétière avec un titre se représente ainsi que les titres aussi je vais me créer une classe graphique qui m’évitera de tout refaire à chaque fois pour chaque page.
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#region graphique public static string afficheTitres(string titreH3, string titreH1) { StringBuilder sb = new StringBuilder(); sb.Append("<div class=\"wrapper\">"); sb.Append(" <div class=\"main\" style=\"padding-top:40px;\">"); sb.Append(" <h3 class=\"titres\">" + titreH3 + "</h3>"); sb.Append(" <h1 class=\"titres\">" + titreH1 + "</h1>"); sb.Append(" </div>"); sb.Append("</div>"); return sb.ToString(); } public static string afficheTetiere(string titre, string lieu) { StringBuilder sb = new StringBuilder(); List<string> tabImages = new List<string>(); var filePath = HttpContext.Current.Server.MapPath("~/img/slider"); string[] filePaths = Directory.GetFiles(@filePath, "*.jpg"); foreach (string file in filePaths) { FileInfo fileName = new FileInfo(file); tabImages.Add(fileName.Name); } Random aleatoire = new Random(); int chiffre = aleatoire.Next(0, tabImages.Count()); sb.Append("<div style=\"height:250px;color:#ffffff;background:transparent url(../img/slider/" + tabImages[chiffre] +") 50% 50%;\">"); sb.Append(" <div style=\"padding:70px 0 70px 0;\" class=\"center\">"); sb.AppendFormat(" <h2>{0}</h2>", titre); sb.AppendFormat(" <div style=\"background:rgba(0,0,0,0.8);width: 30%;margin: 0 auto;\"><a href=\"default.aspx\">Accueil</a> > {0}</div>", lieu); sb.Append(" </div>"); sb.Append("</div>"); return sb.ToString(); } #endregion |
NB : la fonction têtière permet de récupérer toutes les images d’un dossier et d’en prendre une au hasard, sympa graphiquement de ne pas toujours avoir la même photo.
Maintenant dans ma page, pour l’appel graphique d’une fonction, je n’ai plus qu’à faire :
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<%=Client.afficheTetiere("Occasions Riviera Choppers", "Occasions") %> <%=Client.afficheTitres("Spécialistes V Twin", "Motos d'Occasion à vendre") %> |
Un site internet optimisé représente un atout réel pour les entreprises. En effet, si votre site internet possède toutes les petites spécificités liées à cette optimisation seo pour les moteurs de recherche, c’est un vrai plus pour votre business. Qu’il s’agisse d’un site internet pour un artisan, un auto-entrepreneur ou encore une multinationale l’objectif est le même pour tous : Être en première position des résultats de recherche dans leurs différents mots clé.
Pour être en tête de ces résultats de recherche et gagner des visiteurs de manière exponentielle, il faut optimiser votre écosystème web pour le SEO.
Mais qu’est-ce que signifie cette belle abréviation ?
Rien de bien complexe en théorie, il s’agit tout simplement de l’optimisation de tout le contenu d’un site internet. Pour ce faire, il existe un grand nombre de tutoriels et d’astuces sur internet, mais reprenons la base que beaucoup oublient.
La première étape dans l’optimisation d’un site internet, c’est de travailler la structure propre au développement de ce dernier. Il s’agit d’améliorer le “background” du site, c’est-à-dire la manière dont il est construit. Voyez un site internet comme une maison, plus une maison est de bonne qualité et joliment construite, plus elle sera vendue chère. Cependant, il faut que votre maison soit solide et pour cela rien de mieux que des fondations de la meilleure qualité possible. Votre site internet doit donc posséder une structure de code poussée afin qu’il soit adapté au SEO.
Une fois les fondations terminées, il faut définir la taille de votre maison, c’est le rôle de votre contenu au sein de votre site internet. Plus il sera important et diversifié, plus votre site aura de la valeur en terme de référencement. Attention, le contenu ne fait pas tout, il doit aussi être lui-même optimisé.
Vous trouverez ci-dessous les 10 meilleures techniques que vous pouvez mettre en place simplement pour optimiser votre contenu et rendre votre site encore plus visible :
https://blog-fr.orson.io/seo-on-page-infographie
Dans les services Windows, stopper « Serveur d’Application WebDev »
Puis dans Administrateur WebDev
Attendre quelques instants, si plus de connexion alors lancez la mise à jour, ne pas hésiter à faire un backup de sauvegarde en cas de souci.
Le RGPD fait beaucoup parler de lui. Rien de plus normal, puisqu’il vient bouleverser les règles du jeu pour beaucoup d’entreprises. Des entreprises qui tentent tant bien que mal de préparer son arrivée prévue pour le 25 mai 2018, car le RGPD promet de sanctionner toute entreprise ne respectant pas ses devoirs quant aux droits et données personnelles de ses clients.
Parmi les changements introduits par le RGPD, on peut compter la rédaction des mentions légales. En effet, il implique d’ajouter plusieurs lignes à ses mentions légales. Si la rédaction de ces mentions était déjà un casse-tête pour beaucoup, on peut se demander si cela ne va pas devenir un véritable calvaire.
Peut-on encore utiliser des générateurs de mentions légales pour gagner du temps tout en étant conforme à la loi ?
On vous explique tout ce que vous devez savoir sur le RGPD et on vous donne des réponses quant aux différents changements à prendre en compte pour la rédaction de vos mentions légales. Tout cela, dans cet article !
Bonne lecture !
RGPD signifie Réglement Général sur la Protection des Données (à caractère personnel). C’est donc un règlement qui vise à protéger les données personnelles.
Il a été voté afin de prendre la relève sur la directive de 1995 concernant les traitements de données pour pouvoir harmoniser les différentes législations des états de l’Union Européenne. Car en effet, contrairement à une directive, un règlement s’applique totalement et directement. Ainsi, l’entrée en vigueur du RGPD garantira une harmonisation législative totale en ce qui concerne la protection et les traitements de données personnelles.
Le RGPD vient en fait renforcer l’encadrement que devait fournir la directive de 1995, c’est pourquoi il reprend de nombreux droits déjà existants, en modifie d’autres et en rajoute.
Ainsi, parmi les nouveaux droits des personnes physiques, comptons :
Sachez tout de même que certaines exceptions s’appliquent, notamment lorsqu’il s’agit de traitement nécessaire à l’exécution de missions du service public ou répondant à des objectifs d’archivage scientifique, ou historique.
N’oublions pas les anciens droits :
Aussi, en théorie il devrait être assez aisé pour les entreprises de respecter le RGPD, à partir du moment où elles suivaient déjà la directive de 1995.
Malheureusement, fort de constater que beaucoup d’entreprises ne suivaient pas cette directive. Il leur sera donc plus compliqué que prévu de se mettre en conformité avec le RGPD.
Mais qu’entend-on par données personnelles ? Toute données permettant l’identification directe ou indirecte d’un individu est considérée comme étant une donnée à caractère personnel. Ainsi, une plaque d’immatriculation de véhicule est une donnée personnelle, bien que celle-ci ne permette pas de faire le lien direct avec un individu, elle permet de remonter jusqu’à un véhicule puis jusqu’à son propriétaire.
Sachez qu’il existe deux catégories de données personnelles : les données sensibles et les données non-sensibles.
Par données sensibles on entend toute donnée se rapportant à l’orientation sexuelle, l’opinion politique, religieuse, à la santé, aux domaines du juridiques et du pénal.
Par donnée non-sensible, on parlera d’informations comme le nom, prénom, la date de naissance, le sexe, etc…
Vous vous demandez maintenant si vous êtes concerné, et vous avez bien raison !
Le RGPD concerne grand nombre d’entre nous, il y a donc de grandes chances que vous soyez concerné.
En effet, le RGPD concerne toutes les entreprises, qu’importe leur taille et leur secteur d’activité, dès lors qu’elles traitent de données à caractère personnel de citoyens européens. Ce, même si elles ne sont pas domiciliées au sein de l’UE et même si les données sont destinées à être transférées hors UE.
Si vous êtes concerné, alors gardez à l’esprit que le RGPD entre en vigueur le 25 mai 2018, et que, par conséquent, il vous faut tout mettre en conformité avant cette date butoir.
Pour garantir votre conformité, il est nécessaire de prendre connaissance du guide diffusé par la CNIL. Ce guide constitué de principes vous indiquera comment vous mettre en conformité. Aussi, nous vous conseillons d’en prendre connaissance par vous même sur le site de la CNIL.
En attendant que vous vous rendiez sur le site de la CNIL, on vous fait un petit récapitulatif des principes à connaître !
Avant tout, sachez qu’il s’agit là d’une recommandation et non d’une obligation.
Le ou la DPO (Data Protection Officer) devra être nommée afin qu’il/elle s’assure de la conformité de l’entreprise pour laquelle il/elle travaille. Cette personne encadrera donc tous les traitements de données dès leur conception et sera l’interlocutrice privilégiée de la CNIL, en cas de contrôle.
Il est obligatoire de recenser toutes les données traitées. Elles doivent être catégorisées selon le type de traitements, la catégorie des données, le but et la finalité des traitements, l’origine et la destination de ces données et pour finir, les différents acteurs concernés par chaque traitement.
Assurez-vous que vos sous-traitants aussi ont eux-aussi dressé un registre de traitement de données.
L’analyse d’impact, appelée aussi PIA, permet d’encadrer et d’anticiper tous les risques que présente un traitement. Ainsi, dans une analyse, il faudra retrouver :
Il faudra faire plusieurs analyses d’impact et les mettre à jour régulièrement. Ce sera au responsable de traitement, aux sous-traitants ainsi qu’au DPO de s’en charger.
Afin de garantir la protection des données personnelles des citoyens. Toutes les entreprises doivent mettre en place une procédure de confidentialité et de sécurité optimale dès la conception d’un traitement.
Elles doivent aussi s’engager à informer la CNIL et les individus concernés, en cas de violation ou de fuite de données, sous 72h.
Afin de prouver votre conformité au RGPD en cas de contrôle de la CNIL vous devez constituer un dossier à présenter si besoin. Ce dossier comportera:
Sans documentation complète, il vous sera impossible de prouver votre conformité.
Pour être en parfait accord avec le RGPD, il vous faut adopter un comportement transparent. Afin d’assurer cette transparence totale, il vous est demandé d’informer les internautes de tout traitement de données, de l’usage de ces données, et de récolter leur consentement. Vous devez aussi leur rappeler leurs droits face à leurs données.
Pour ce faire, il faudra prévoir quelques changements dans vos mentions légales.
Deux solutions s’offrent à vous:
Qu’importe la solution choisie, n’oubliez pas de:
A priori, ces changements ne vous empêchent pas de faire usage de générateurs de mentions légales en ligne. Ces outils ont eu le temps d’être mis à jour pour prendre en compte les nouveautés introduites par le RGPD.
Ceci dit, pour plus de prudence, renseignez-vous directement auprès de l’éditeur du générateur utilisé afin de vous assurer de sa conformité au RGPD.
Pourquoi se mettre en conformité ? Parce que, comme nous l’avons dit plus haut, il s’agit là d’un règlement et non d’une simple directive. Aucun pays de l’UE n’a le choix de le respecter ou non.
Ainsi, il faut savoir qu’en cas de non-conformité, une entreprise contrôlée par la CNIL risque une lourde sanction. Soit une amende de 20 000 000 € ou équivalente à 4% du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise en question. Vous vous doutez bien que ce sera la valeur la plus élevée qui sera retenue…
Bref, un conseil : mettez-vous vite au RGPD. À l’heure où nous écrivons ces lignes, il ne vous reste plus qu’un mois et des poussières …
Générateur de mentions légales RGPD :
https://fr.orson.io/1371/generateur-mentions-legales
A écrire dans le web.config
1 2 3 4 5 6 7 8 9 |
<rules> <rule name="HTTP/S to HTTPS Redirect" enabled="true" stopProcessing="true"> <match url="(.*)" /> <conditions logicalGrouping="MatchAny"> <add input="{SERVER_PORT_SECURE}" pattern="^0$" /> </conditions> <action type="Redirect" url="https://[votresite]" redirectType="Permanent" /> </rule> </rules> |
PhpMyadmin > Variables > chercher : default_password_lifetime, et le passer à 0 en place de 360.
Ouvrir le fichier de conf de mySQL : my.ini, ajouter :
1 2 |
[mysqld] default_password_lifetime=0 |
et relancer mySQL, le tour est joué.
Depuis maintenant 5 ans, la création d’un site internet vraiment devenu simple grâce à l’ensemble des solutions qu’offre le web. Cependant, pendant que la création se simplifiait, l’optimisation et les critères de référencement se sont durcis.
Il existe différentes règles pour référencer son site internet ou le rendre visible.
Le respect de certaines règles de SEO vous permet de rendre votre site internet efficace et encore plus performant.
Aujourd’hui Google représente 92% des recherches dans le monde et près de 96% en France, nous avons regroupé 5 règles à suivre pour être bien référencé.
C’est parti !
Votre site internet est analysé par les moteurs de recherche en fonction des mots clés sur lesquels il est basé. Votre mission dans un premier temps et de définir les mots clés qu’utilisent les internautes pour vous trouver.
Autrement dit : Quelles sont les requêtes des internautes dans votre domaine d’activité ?
Ces requêtes ne se valent pas toutes, certaines génèrent plus de trafic que d’autres, c’est à vous de vous assurer que les mots clés sur lesquels vous vous positionnez sont intéressants.
L’intérêt d’un mot clé est défini par :
Il existe plusieurs moyens de définir vos mots clés.
Dans un premier temps, vous devez définir votre champs lexical. Votre mot clé doit devenir une expression concrète, c’est que les experts du SEO appellent “ La longue traine”.
Exemple : “ site “ devient “ Créer un site internet ” ou “ Création d’un site internet “
Il y’a 15 ans, les recherches étaient simples et courtes. Aujourd’hui elles se composent de plusieurs mots, vous devez en tenir compte !
Ensuite, vous devez analyser le volume de recherche. Il existe différents instruments pour analyser les mots clés, notre préférence se tourne vers Semrush.
Cet outil vous propose une analyse complète des mots clés que vous choisissez afin de pouvoir vous positionner au mieux en fonction du volume de requête.
Quelque soit votre activité, votre site internet impose de produire du contenu. Ce contenu est le reflet de ce que vous faites et de la crédibilité de votre travail.
Sur le web le contenu est roi et cette tendance ne cesse de croître.
Le contenu web, est essentiel pour les internautes qui recherchent des informations sur internet mais aussi pour les moteurs de recherche qui analysent votre site afin de mieux comprendre ce que vous faites.
Cependant, il existe des règles à respecter, des choses à savoir pour écrire sur le web.
Avant toute chose, vous devez savoir qu’une page web doit faire au minimum 300 mots. Si elle ne fait pas cette taille les algorithmes jugent qu’elle n’est pas pertinente.
A l’inverse, il n’y a pas de maximum mais attention à ne pas faire une page trop longue, ce qui va pousser vos visiteurs à quitter votre site !
Vous devez garder à l’esprit que l’internaute lit rapidement et souvent en diagonale, soyez concis et pertinent.
Écrivez un contenu de qualité et optimisé pour le référencement, c’est votre meilleure chance d’apparaître en tête des résultats des moteurs de recherche.
Quand on crée ou qu’on cherche à optimiser son site internet, il est facile de tomber dans le “ beau “ sans pour autant être “efficace“.
Certaines règles classiques de webdesign sont négligées au profit de l’aspect graphique, ce qui peut jouer sur votre référencement.
Vous devez vous souvenir que votre site internet est à la représentation virtuelle, la vitrine de votre activité. L’expérience utilisateur ou UX Design recense l’ensemble des techniques utilisées pour rendre la visite de votre site agréable.
Voici quelques exemples de règles simple à appliquer.
Ce n’est pas fini !
Les liens externes, ou “ Backlinks ” en anglais sont des liens issus d’un autre site internet ou blog qui pointent vers votre site internet ou votre blog.
Ils sont essentiels pour votre référencement.
En effet, les liens sont un des principaux éléments que Google utilise pour juger de votre pertinence.
Pour illustrer ce que nous venons de dire :
Google est le plus grand libraire du monde, il juge votre pertinence en fonction des dires de vos pairs. Il considère votre site internet comme un livre, si d’autres livres parlent tous de vous cela signifie que vous êtes pertinent !
Attention tous les liens ne se valent pas sur le web.
Quand vous faites la chasse aux liens à travers différentes techniques vous devez :
Pour finir !
Le référencement local prend une dimension importante dans l’univers du référencement.
Une des principales raison est l’utilisation grandissante d’internet sur mobile, les internautes cherchent une information ou un lieu proche de leur localisation.
Google donne donc aujourd’hui une place importante au référencement local.
Voici quelques astuces pour améliorer votre référencement local :
Vous avez maintenant les 5 choses à faire pour bien référencer votre site !
Article rédigé par Alexandre Hilf
Business Developer et Content Marketer chez Orson.io
Après des jours de recherche, fonctionnel sous 2003 et plus sous 2008 et 2012 la connexion ftp sous dos s’instancie bien mais aucune commande n’est possible, ex:
1 2 3 4 |
ftp > open IP ftp > user ftp > password ftp > dir |
Il suffit dans le firewall Windows d’ajouter la règle :
1 |
%SystemRoot%\System32\ftp.exe |
et le tour est joué !