c# – énumérer un Enum

Bien pratique les enum afin de lier une valeur entière à un texte, ex : 0 = chat, mais comment lister les valeurs ?

Et voilà on retrouve la valeur numérique et textuelle …

Jquery – Json : cherche Lycos !

Je vous propose dans ce tuto de faire une recherche dans un array Json, à ce jour j’utilise deux méthodes, la première étant ma préférée.

Méthode 1 : Jquery.grep

On va chercher la ligne qui correspond à locs[n].id == 1, si on trouve on extrait le array qui correspond à la requête. Bien entendu si on trouve plusieurs enregistrements (item.length > 1) il faudra faire un for each afin d’afficher tous les enregistrements trouvés.

Méthode 2 : $.each

Cette méthode permet de trouver le premier enregistrement correspond à la recherche. Pour obtenir les mêmes avantages que la première méthode il faut créer un item, stocker le résultat dans ce dernier et inhiber la sortie du loop. Plus long à traiter car on scrute tous les enregistrements dans ce cas …

Jquery – Select2 : auto remplissage depuis Json

Remplir un select2 via un Json, rien de plus simple en quelques lignes :

Bien entendu il faut en entête appeler jquery et la bibliothèque de Select2 :

https://select2.org/getting-started/installation
https://code.jquery.com/


Astuces select2

Select2 est prédéfini avec les valeurs id et text, si vous créez votre Json avec ces deux identifiants on peut simplifier le remplissage du select par :

Vous souhaitez changer la valeur du select en sélectionnant une valeur, Jquery répond à ce besoin :

Vous souhaitez récupérez la valeur du select en automatique sur changement du select (j’ai utilisé .each si vous avez un Json complexe et souhaitez retrouver des informations complémentaires) :


Résultat via CodePen :
https://codepen.io/laurent-zminka/pen/WNojyxN


IIS7 – security : filtrage par ip

Comment refuser l’accès à votre site à certaines Ip via le web.config ?

Modification du fichier applicationHost.config

Ouvrez le fichier host config :

C:\Windows\System32\inetsrv\config\applicationHost.config

Cherchez la ligne :

et transformez « Deny » en « Allow »

Modification du fichier web.config

Modifiez le fichier web.config de la sorte :

Donc désormais l’ip 217.128.42.22 n’est plus autorisée à accéder à votre site.

NB : attention, le blocage génère maintenant une erreur 403, généralement non définie dans le web.config, donc ajoutez une section pour cette erreur :

Bien archiver ses emails IMAP sous Outlook

On voit trop souvent des boîtes mails IMAP de 20Go et plus, hors Outlook a dépassé ses limites depuis bien longtemps qu’on estime entre 8 et 12Go suivant la structure de rangement.

La hiérarchisation

Tous les emails rentrent dans Inbox, qui se traduit par Boîte de réception sous Outlook.

La première chose à faire est de créer des dossiers de rangement du style :

  • A traiter
  • Clients
  • Partenaires

Et dans chaque dossier créer autant de sous dossiers que besoin.

Le but de cette première étape est d’alléger au maximum le contenu des emails dans la Boîte de Réception. Plus elle sera allégée et plus votre outlook s’en portera mieux. n’hésitez donc pas à créer un dossier « old » et y glisser tous les emails à conserver après une durée de 1 an par exemple.

Les spams et la Corbeille

Sur nos serveurs de mails, la suppression se fait automatiquement, donc vous n’avez aucune règle à effectuer de ce côté, déjà ça 🙂

L’archivage

Dans mon exemple, j’ai créé un espace de stockage : Z, sur une baie de stockage hors de mon ordinateur.
Ne pas perdre à l’esprit qu’un compte IMAP est fait pour conserver les emails côté serveur, si vous perdez votre ordinateur vous retrouverez tous vos petits dans l’état où vous les avez laissés. Si vous activez l’archivage, dans ce cas une partie des emails se retrouvera sur votre ordinateur sous forme d’un fichier .pst et donc plus visible dans votre Webmail. Aussi pensez à bien le sauvegarder si vous le créez sur votre ordinateur de travail (oneDrive, DropBox, RD Atempo, …)

J’ai donc créé dans mon Outlook un dossier RD clients avec des dizaines de sous dossiers portant le nom de mes clients. Dépassé un an ou plus, cela ne sert à rien de les conserver sur mon compte IMAP, autant les archiver.

Pour ce, cliquer sur le dossier à archiver avec le bouton droit de la souris : Propriétés > Archivage Automatique

Puis cliquez sur « Paramètres d’archivage par défaut ».

A savoir, vous pouvez créer autant d’archives que de dossier (cf. Déplacer les anciens éléments vers : ») mais je vous le déconseille car à chaque fois ça recrée une structure archive dans Outlook grâce à la fonction « Afficher le dossier d’archivage dans la liste des dossiers ».
Pour le reste, c’est assez explicite …

Une fois vos préférences renseignées, cliquer sur le bouton « Appliquer ces paramètres à tous les dossiers maintenant » afin que tous les sous dossiers héritent de la synchronisation du dossier principal.

Le tour est joué … regardez votre fichier pst se populer et le poids de votre Imap réduire comme peau de chagrin 🙂

Retour en arrière

Les emails stockés en archive sont ré intégrables d’un simple « cliqué glissé » dans le dossier de votre choix et seront de nouveau accessibles dans le Webmail.

NB : j’espère que ce petit tuto vous fera gagner du temps et surtout beaucoup d’espace …

2008 R2 – souci TLS

Désormais il faut utiliser TLS 1.2, pour ce j’ai trouvé les valeurs à injecter en base de registre afin de corriger le dysfonctionnement.

Pour ce, créer un fichier toto.reg, copiez-collez les valeurs ci-dessous, cliquez sur le fichier pour l’exécuter et rebootez la machine.

Activer Windows Search pour le WebClient

Voici une astuce afin d’accélérer le processus de recherche dans le Webmail.

Installer Windows Search

Ajout rôles et fonctionnalités > Fonctionnalités > Cocher Service de Recherche Windows.

mySQL

Il faut créer une nouvelle base mySQL en UTF8 puis migrer le contenu actuel :
Outils > Migration bases de données > WebClient

! Cela peut prendre de plusieurs heures à plusieurs jours selon le nombre de comptes, environ 2h pour 1000 comptes.

Icewarp

Aller dans :
Email > Général > Avancé > Service Indexation à ‘Recherche Windows’ et cliquer sur le bouton ‘Configurer automatiquement la recherche Windows’

The Server Manager WinRM plugin might be corrupted or missing

Lors de l’ajout d’une fonctionnalité, erreur WinRM qui apparaît avec soit disant un gestionnaire défectueux.

Cela n’en est rien, il suffit juste de vérifier que l’ip 127.0.0.1 est bien enregistrée dans netsh

Vous devriez voir apparaître 127.00.1, si ce n’est pas le cas on va l’ajouter avec le code suivant :

Puis on va relancer WinRM avec la commande suivante :

Et voilà, l’ajout de fonctionnalités fonctionne de nouveau.

Ha Microsoft quand tu nous tiens …

2012 -2016 – gestion des sessions RDP

La gestion des sessions est assez aisée sous Active Directory, mais incomplet quand on ajoute Remote Application, après quelques heures de recherche je vous livre mes découvertes.

L’objectif : fermer complètement toutes les sessions de connexion au bureau à distance, en mode RDP ou Remote Application, et pas seulement déconnecter comme fait Windows désormais.

Active Directory

Sous Dos ou PowerShell exécuter : gpedit

Là nous allons devoir modifier deux droits, dans Configuration ordinateur et Configuration utilisateur.

Descendre l’arborescence jusque :

  • Modèles d’administration
  • Composants Windows
  • Services Bureau à Distance
  • Hôte de la session Bureau à Distance
  • Délai d’expiration des sessions

De là on va modifier deux lignes :

  • Définir le délai d’expiration des sessions déconnectées à 15 minutes (par exemple).
  • Mettre fin à la session quand les délais d’expiration ont été atteints

Répéter l’opération pour la configuration Utilisateur.

Lancer sous shell la commande : gpupdate afin de mettre à jour la stratégie.

Remote Application

C’est là où j’ai mis le plus de temps à comprendre pourquoi les sessions Remote Application ne se comportaient pas de la même façon que Active Directory.

Dans gestionnaire de serveur, cliquez sur l’icône Services Bureau à distance, puis sur Collections > QuickSession
Dans le menu déroulant Propriétés, cliquez sur Modifier les Propriétés et modifiez les champs comme indiqué dans l’image ci-dessous.

NB : j’ai fixé une limite de session active pour être certain qu’au bout de 12h (durée normale de travail ^^), la session soit bien fermée.

Migrer votre WordPress en https

Il ne suffit pas d’activer un certificat, voici les actions à faire.

1. Installer le certificat ssl

2. Modifier l’url dans WordPress

Rendez-vous dans l’administration de votre WordPress, section Réglages > Général. Il vous faudra modifier l’url en https.

3. Modifier les urls dans la base de donnée

Nous recommandons l’utilisation de ce script gratuit en license GPLv3 :
https://interconnectit.com/products/search-and-replace-for-wordpress-databases/

4. Rediriger en https permanent

Sous Apache, la modification se fait dans le fichier de configuration via l’interface prévue à cet effet ou dans le fichier .htaccess (nous recommandons la première méthode).

Sous IIS, voici une méthode simplifié :
https://blog.rdmedias.com/iis-7-redirect-force-et-fixe-http-https
ou une méthode plus avancée :
https://aboutssl.org/iis-redirection-http-to-https/

5. Mettre à jour le fichier robot.txt

http://robots-txt.com/ressources/robots-txt-https/

6. Déclarer votre site en HTTPS sur Google Search et recharger la sitemap

A priori pas besoin car désormais google n’implique pas de modification de HTTP > HTTPS :

https://support.google.com/webmasters/answer/83106?hl=fr

7. Mettre à jour sur Google Analytics

8. Tester sur www.sslabs.com/ssltest/